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Le mort ou le vivant: lequel compte le plus?

Le 15 mai, nous sommes appelés à voter sur le don d’organes qui fait cruellement défaut en Suisse par rapport au reste de l’Europe.

Il convient de décider si nous voulons APRES notre mort cérébrale ou cardiaque, donner un bout de soi -qui n’est plus soi- pour soigner ou aider un vivant. En votant oui nous acceptons le principe de ce prélèvement qui peut être pratiqué avant que le corps se décompose.

N’est-il alors pas temps de permettre à son prochain de poursuivre son chemin alors que le nôtre est terminé ?

Elisabeth Leo-Dupont
Membre de la Fédération vaudoise des retraités et déléguée auprès du Conseil des Ainés